lundi 7 mars 2011

Les affiches et les candidats vus par l'Est-Eclair

La Nouvelle Agora présente quatre candidats. Avec l'espoir, évidemment, de compter quatre élus. « J'ai une grande confiance dans la démocratie », assure Philippe Beury, même s'il reconnaît ne pas savoir quel sera l'accueil des électeurs.
À noter que les affiches de la Nouvelle Agora se décline en trois couleurs - vert, bleu et orange - en fonction des orientations politiques du candidat. Ces derniers sont à chaque fois pris en photo dans la foule, celle qu'ils veulent écouter avant de décider.
Troyes VII : Didier Quacchia, médecin ORL, conseiller municipal à Saint-Julien. Suppléante : Karima Ouadah. L'affiche est bleue.
Ervy-le-Châtel : Yves Berthelemy, maire adjoint de Coursan-en-Othe. Suppléante : Laetitia Carougeot, chargée de clientèle. L'affiche est bleue.
La Chapelle - Les Noës : Fati Leprevost, employé dans un organisme de formation. Suppléant : Pascal Houplon, enseignant. L'affiche est verte.
Troyes V : Philippe Beury, médecin du sport, conseiller municipal à Troyes. Suppléante : Françoise Delplanque, enseignante, conseillère municipale. L'affiche est orange.

Article publié dans l'Est-Eclair le 7 mars

La Nouvelle Agora veut rendre le pouvoir au peuple

 

Les candidats de la Nouvelle Agora devant leurs affiches. Les couleurs de chacune soulignent la diversité de leurs racines politiques

Avec des candidats de tout bord, ou presque, La Nouvelle Agora se veut fondatrice d'une autre politique


« Ce que l'on propose, c'est un truc simple : rendre le pouvoir au peuple », ne cesse de répéter Philippe Beury, fondateur de la Nouvelle Agora.
Un nouveau mouvement politique qui se veut atypique. Pas de chefs, pas de positionnement sur l'échiquier politique. Leurs candidats viennent d'ailleurs du MoDem (Philippe Beury, Françoise Delplanque…), sont plutôt socialistes (Karima Ouadah), plutôt écolos, plutôt centre droit. Ils ne sont même pas forcément d'accord entre eux sur les grands dossiers du département. En revanche, une idée forte, une conviction même, celle qu'on « ne peut plus faire de la politique comme au XIXe siècle. »
« On veut rapprocher les citoyens des élus et de la politique. On veut consulter les citoyens avant de prendre toute décision. Ce n'est pas de la démocratie directe, on ne veut pas être lié à cette consultation, mais on ne veut pas être des politiques qui ne voient que des politiques et qui prennent des décisions entre eux. Nous, on veut proposer aux gens avant de faire, expliquer aux gens ce que l'on veut faire. Quand on entre dans cette démarche-là, on ne fait déjà plus les projets de la même façon », assure Philippe Beury en prenant l'exemple de l'extension du conseil
général.
D'ailleurs faut-il construire l'auditorium voulu par Philippe Adnot ? « Moi je pense que oui », répond Philippe Beury. « Moi, je ne suis pas très sûre », répond Françoise Delplanque, sa suppléante. « On va demander ce qu'en pense la population », tranche Philippe Beury.
Une méthode de travail qu'ils veulent rendre facile et peu coûteuse grâce à internet. « Il faut évoluer. Dans la médecine, il y a vingt ans, on ne demandait pas l'avis du patient. On le soignait pour son bien… jusqu'à la mort. Aujourd'hui, ce n'est plus comme ça et plus personne ne fait comme ça dans aucun domaine. Pourquoi continuerait-on en politique ? », reprend Philippe Beury.
Autour de lui, les candidats sont convaincus. « Nous ne sommes ni utopistes, ni populistes », précise Didier Quacchia, candidat sur Saint-Julien.
« On veut réformer la démocratie, insiste Fati Leprevost, candidat sur Troyes-La Chapelle-Saint-Luc. On veut faire de la politique autrement. »

Article publié dans l'Est-Eclair le 7 mars

L'affiche de Philippe Beury et Françoise Delplanque

Le journal de campagne bientôt dans vos boîtes aux lettres

Parce que le monde change chaque jour un peu plus vite;
Parce que vous ne croyez plus aux promesses;
Parce que nous avons besoin de ré-inventer notre démocratie;

Philippe Beury et Françoise Delplanque vous adresseront ce 1er journal de campagne dans les jours prochains : Le journal de campagne

Il marque la 1ere étape du changement que nous vous proposons.

Plusieurs fois par an, votre nouvelle conseillère générale, si vous nous faites confiances, vous informera directement du travail.
Et surtout, à chaque décision, Philippe Beury vous consultera, directement, grâce aux nouvelles technologies ou au sein de sa permanence.
Aucune décision ne sera plus prise sans vous avoir demander votre avis.

dimanche 6 mars 2011

Les citoyens ont acquis assez d’expertises dans ces domaines pour étendre le droit de décision à tous.

Le citoyen est informé, surinformé peut-être, parfois désinformé mais la quantité des informations est énorme. Elle tue d’ailleurs parfois la possibilité de choix. Et ce citoyen surinformé… s’étonne qu’on puisse prendre des décisions à sa place sans jamais lui demander son avis.
Comme les anciens mandarins soignaient sans jamais dire au malade ce qu’il avait, ce qu’il deviendrait, les politiques actuels se réfugient dans le silence ou, pire, le slogan, pour dévoyer le vote des électeurs.
Or cette démocratie de « représentation », cette forme de gouvernement de l’ensemble par un seul, cette complète allégeance dans celui qui, un jour, a reçu l’onction du suffrage universel n’a plus beaucoup de sens aujourd’hui. Pas beaucoup plus que n’avait de sens la tradition monarchiste, la lignée des capétiens, les « rois qui ont fait la France » en ce 21 janvier 1993 où les Français décidèrent de couper leur roi en deux… La démocratie représentative a vécu… Les derniers à le savoir seront, naturellement, les « représentants », les élus… Il faut maintenant découvrir autre chose.
Au temps où les « fédéralistes » voulaient encore construire une Europe unie, ils avaient ressorti des limbes du dogme chrétien le principe de « subsidiarité » qui veut que le système englobant ne fasse jamais ce que le sous-système peut faire. Si une action peut être faite par une commune, c’est elle qui la fera, non le département ; si une décision peut être prise par un département c’est lui qui la décidera et non la région ou l’Etat ; si l’Etat peut faire c’est à lui de faire et non à l’Europe, etc. etc. Le principe de subsidiarité c’est l’autonomie poussée à l’extrême dans une Europe unie. C’est ce principe qu’il faut, maintenant, appliquer aux citoyens, aux femmes et aux hommes de France.
Un choix dans le tri des déchets : Quel est votre avis ? Un plan de circulation : qu’en pensez-vous ? Une grande salle de spectacle ou un terrain de sport : c’est à vous de choisir… Un mode de scrutin majoritaire ou proportionnel : que voulez-vous ? La relance ou la rigueur : où va votre sens du bien commun ? Il n’y aura dans cette nouvelle démocratie ni petit ni grand problème ; aucun domaine réservé à l’élite, à ceux qui croient savoir, tout devra être discuté, expliqué, adopté par l’ensemble des citoyens… Les systèmes de communication actuels sont assez performants, les citoyens ont acquis assez d’expertises dans ces domaines pour étendre le droit de décision à tous. Il restera aux politiques de lourdes taches comme celles de faire aboutir les projets collectifs, comme celle d’informer la population sur les choix véritables.

Extrait de l'édito du 28 décembre paru sur Auboisementcorrect

L'explication de l'affiche de Philippe Beury et Françoise Delplanque

Vous remarquerez cette affiche, elle est différente des autres. Et pour cause, Philippe Beury et Françoise Delplanque ont voulu signifier par cette affiche leurs valeurs, leurs engagements et cette volonté de ré-inventer la démocratie.
Au milieu d'une foule, les candidats s'engagent à être parmi vous, à rester à vos côtés et vous associer directement et systématiquement à toutes les décisions. Ils ne seront plus ces élus qui savent et décident de tout sans jamais vous consulter. Ils seront les passeurs de vos préoccupations, et vous consulteront par tous les moyens technologiques qui existent aujourd'hui pour chacune des décisions.
Deux couleurs dominent cette affiche.
Le orange marque l'engagement pour cette nouvelle démocratie, les valeurs humanistes et démocrates portées par Philippe Beury.
Le vert témoigne de l'importance des questions écologiques portées par Françoise Delplanque. Vivre mieux, vivre autrement dans notre ville et notre canton

dimanche 20 février 2011

L'Aube ré-invente sa démocratie

Le rôle d'un élu est à la fois noble et essentiel à la vie de la cité. Pourtant, ces dernières années le fossé s'est creusé entre les citoyens et les élus. Les uns et les autres ne se comprennent plus, ne s'écoutent plus vraiment, même lors des différentes élections.

Philippe Beury et Françoise Delplanque, tous deux conseillers municipaux, veulent donner un nouveau visage à notre démocratie locale. Avec La Nouvelle Agora, ils souhaitent donner la parole aux experts-citoyens pour toutes les questions qui concernent notre vie quotidienne.

Pour chacune des questions qui concernent votre canton, vous serez associés directement à la recherche de nouvelles solutions. 

Pour chacune des décisions que le Conseil Général devra prendre, vous serez également consultés.

Vos avis, toutes vos remarques guideront le travail des élus de la Nouvelle Agora.

C'est l'engagement d'une nouvelle démocratie, plus proche des citoyens, plus consciente du monde nouveau qui est le notre et de l'expertise que chacun d'entre-vous peut apporter. C'est l'engagement de Philippe Beury et Françoise Delplanque pour exercer le rôle de Conseiller Général.